Obama: une polémique récente pour un rien...

il aurait dit une phrase qui aurait porté à confusion quant à sa véritable religion..(un sois disant lapsus) complètement débile de coincer la dessus aussi lourdement .. la spécialité des médias à la noix de faire des remarques stupides.. surtout les américaines. La fin de l'article est très juste.. c'est comme une claque cette article.. (tant mieux s'il est musulman comme son père, si c'est le cas..)

sur yahoo:


US Buzz. C'est la rumeur qui gonfle sur le Net depuis 48 heures : Barack Obama aurait révélé être musulman. Décryptage d'un lapsus surtout révélateur de l'islamophobie galopante aux Etats-Unis.

Jusqu'alors, il était légèrement en tête dans les sondages : Barack Obama risque pourtant de payer très cher la gaffe commise lors de sa dernière interview. Dimanche soir, sur ABC, chaîne à forte audience, le candidat démocrate à la présidentielle américaine est interrogé par George Stephanopoulos sur les allégations relatives à son identité religieuse. Il cacherait sa foi islamique selon ses détracteurs.

A la quetion de savoir si McCain a tenté lui-même de le faire passer pour un musulman, Obama répond ceci :

-"Ne tournons pas autour du pot. Ce que je suggérais - vous avez absolument raison au sujet de McCain qui n'a pas parlé de ma foi musulmane. Et vous avez absolument raison sur le fait que cela n'est pas venu..."

-"Foi chrétienne", corrige le journaliste en interrompant Obama.

- "Ma foi chrétienne. Hé bien...ce que je dis, c'est qu'il n'a pas suggéré que j'étais musulman."



Malgré un discret sourire pour souligner sa bévue, on devine le malaise d'Obama. Le fait d'avoir eu un père musulman et de porter deux prénoms (Barack et Hussein) issus de la tradition arabo-islamique ont longtemps porté préjudice au sénateur de l'Illinois.

Mais au-delà d'un lapsus peut-être révélateur chez l'homme d'une ambiguïté sur son propre héritage culturel, il est curieux de constater à quel point le sujet fait débat en quelques heures aux Etats-Unis. Au point qu'Obama doive presque rassurer l'électeur sur le fait qu'il n'a pas de pratique de l'islam, comme s'il s'agissait d'une tare ou d'un danger pour l'Américain moyen.

Visiblement, si la question d'un homme noir ou d'une femme à la Maison Blanche est encore posée, il est certain qu'il ou elle ne pourrait guère se revendiquer de l'islam, comme Bush de sa foi évangélique. Dans un pays qui se targue pourtant de défendre dans le monde entier la liberté de culte, comme le président américain le fit récemment en Chine, la forte réticence à porter un musulman à la présidence semble paradoxale.

Au-delà de son cas personnel, le lapsus d'Obama souligne la peur que suscite encore l'islam aux Etats-Unis. Le mythe selon lequel quiconque, d'où qu'il vienne, puisse accéder, à force de travail et de patriotisme, au sommet du pouvoir américain vient de prendre un coup.

Qu'Obama puisse devenir président.. pourrait changer beaucoup de choses (positivement), il pourrait décider un jour le retrait des troupes chez nous ou agira "intelligemment" s'il entend le problème. Espérons.. Mais faut-il encore qu'il soit président.. et aussi qu'il reste vivant, et finisse pas comme Kennedy, Et aussi que les afghans ne se mangent pas tous, une fois "entre eux"...

salam

obama ne sera jamais president parcequ il est noir; moi je n i croit pas meme si les sondages le mette devant; on verra ds qque mois...

Ses chances sont bien plus réduites maintenant c'est certain.. et pas seulement à cause de ce sois disant lapsus sur son appartenance religieuse, mais surtout à cause de la stupidité des américains.. déçus par la défaite de Hillary. Mais bon.. l'espoir fait vivre.. on aura peut être une surprise.
Quoi qu'il en soit même si Barak gagnait, ils auraient peut être falsifiés les votes comme pour bush contre al gore.. au risque que ça paraisse flagrant.

Mayhanne a écrit:

Ses chances sont bien plus réduites maintenant c'est certain.. et pas seulement à cause de ce sois disant lapsus sur son appartenance religieuse, mais surtout à cause de la stupidité des américains.. déçus par la défaite de Hillary. Mais bon.. l'espoir fait vivre.. on aura peut être une surprise.
Quoi qu'il en soit même si Barak gagnait, ils auraient peut être falsifiés les votes comme pour bush contre al gore.. au risque que ça paraisse flagrant.

Je voudrais qu'il fusse président mais que sa politique soit favorable a notre pays...

Sherak a écrit:

Mayhanne a écrit:

Ses chances sont bien plus réduites maintenant c'est certain.. et pas seulement à cause de ce sois disant lapsus sur son appartenance religieuse, mais surtout à cause de la stupidité des américains.. déçus par la défaite de Hillary. Mais bon.. l'espoir fait vivre.. on aura peut être une surprise.
Quoi qu'il en soit même si Barak gagnait, ils auraient peut être falsifiés les votes comme pour bush contre al gore.. au risque que ça paraisse flagrant.

Je voudrais qu'il fusse président mais que sa politique soit favorable a notre pays...

C'est exactement ce que je souhaite aussi.. mais j'avoue comme disait Juba, c'est perdu.. Mc cain a largement rattrapé le coup (monte dans les sondages) avec cette belle jeune femme cultivée, gouverneur d'Alaska.. Il suffit de ça pour gagner. Démocrate ou républicaine on s'en fou, elle remplace Hillary Clinton pour les américaines qui votent, parce que c'est une femme et qu'elle est belle... tfouu

Mayhanne a écrit:

Sherak a écrit:

Mayhanne a écrit:

Ses chances sont bien plus réduites maintenant c'est certain.. et pas seulement à cause de ce sois disant lapsus sur son appartenance religieuse, mais surtout à cause de la stupidité des américains.. déçus par la défaite de Hillary. Mais bon.. l'espoir fait vivre.. on aura peut être une surprise.
Quoi qu'il en soit même si Barak gagnait, ils auraient peut être falsifiés les votes comme pour bush contre al gore.. au risque que ça paraisse flagrant.

Je voudrais qu'il fusse président mais que sa politique soit favorable a notre pays...

C'est exactement ce que je souhaite aussi.. mais j'avoue comme disait Juba, c'est perdu.. Mc cain a largement rattrapé le coup (monte dans les sondages) avec cette belle jeune femme cultivée, gouverneur d'Alaska.. Il suffit de ça pour gagner. Démocrate ou républicaine on s'en fou, elle remplace Hillary Clinton pour les américaines qui votent, parce que c'est une femme et qu'elle est belle... tfouu

Ah lala, les américains sont vraiment des moutons... Ils devraient prendre conscience de toute l'ampleur des catastophes de Bush, pour opérer un changement de politique tant qu'il en est encore temps

texte intéressant







Barak Obama a été créé pour une tâche qu'il a déjà effectuée : éliminer Hillary Clinton de
la course à la Maison Blanche
En politique, comme en balistique, la trajectoire future dépend fortement de la trajectoire passée. Il
existe bien entendu une capacité d'autonomie ou d'indépendance de l'action humaine qui rend
beaucoup plus libre de son trajet à venir un homme politique qu'un boulet de canon ; cependant,
même un missile de croisière, avec toute son « intelligence » embarquée et son adaptabilité reste
foncièrement dépendant de ses conditions de lancement : quand ? Comment ? Par qui ? De l'analyse
des réponses à ces trois questions à l'aune de la trajectoire parcourue depuis le lancement, on peut
déduire assez précisément les motifs réels du lancement lui-même et donc la trajectoire prévue à
l'origine. Elle peut bien entendu être modifiée en cours de route par le politicien, mais uniquement
dans certaines limites.
Ainsi, selon nos chercheurs, les conditions de lancement du candidat Barak Obama, grâce au discours
d'inauguration de la Convention démocrate de 200431, permettent de déterminer qu'il a été conçu
essentiellement pour empêcher la victoire (probable à l'époque) d'Hillary Clinton à la candidature du
Parti Démocrate pour les élections de 2008. Quand on sait le soin méticuleux apporté à ce type de
« grand messe » politique aux Etats-Unis et à la « pré-vente » aux médias32 de ce qui est essentiel ou
pas, il est indubitable que l'intention de mettre le jeune politicien de l'Illinois sur orbite nationale préexistait
à son discours. C’est au cours de cette même Convention de 2004 que le falot sénateur John
Kerry avait été choisi pour être l'opposant à G. W. Bush, assurant ainsi sa ré-élection à ce dernier
malgré sa mauvaise image publique déjà à l’époque. Notre équipe considère donc que cette
Convention était soit organisée par des forces incapables de mettre sur pied une offensive efficace
contre le candidat républicain, soit gangrénée par des forces souhaitant la victoire du camp adverse.
Dans les deux cas, le fait que ces mêmes responsables aient choisi de propulser Barak Obama sur une
orbite de notoriété nationale ne plaide pas vraiment en faveur d’un objectif de victoire Démocrate en
2008. Le vieux dicton « dis-moi qui t'a fait roi et je te dirai quel roi tu es » s'applique toujours.
Quoiqu’il en soit, la campagne des primaires Démocrates de 2008 a montré comment Barak Obama,
fortement soutenu par une couverture médiatique (entretenant une soi-disant « Obamania »)33 dont
même John McCain s'est plaint quelques semaines plus tard34, a réussi à battre Hillary Clinton de
justesse alors que cette dernière avait obtenu plus de suffrages des militants Démocrates que le
sénateur de l'Illinois35. Etrangement, le fait que Barak Obama n'ait réussi à vaincre Hillary Clinton dans
aucun des Etats très peuplés où il doit absolument gagner en Novembre prochain pour espérer
l'emporter sur John McCain ne paraît pas inquiéter les stratèges Démocrates36. Pourtant, les sondages
montrent que près d'un quart des supporters d'Hillary Clinton envisagent de voter McCain37.



.









L'actualité « fabriquée » joue à plein en faveur de John McCain
La conception de Barak Obama comme « missile anti-Clinton » pourrait ne pas être un défaut de
conception insurmontable si l'administration républicaine actuelle n'orchestrait pas soigneusement
depuis cet été une opération de destruction systématique des « points forts » du programme d'Obama
et de soutien tout aussi « objectif » à la pertinence du programme de John McCain. Le sénateur de
l'Illinois comptait faire du désengagement d'Irak l'un des points clés de sa campagne. Or, ces
dernières semaines l'administration Bush n'a cessé de diffuser chaque jour des nouvelles de réduction
de troupes, de baisse des violences et in fine de calendrier de retrait négocié avec Bagdad qui rendent
obsolète ou pour le moins secondaire le programme de Barak Obama en la matière.
Parallèlement, on assiste à une remarquable orchestration38 par Washington (et consorts) de données
économiques et financières fondamentales (stimulus fiscal, pétrole, dollar en particulier) qui pesaient
négativement sur le moral des électeurs américains et devaient, selon les stratèges Démocrates,
entraîner la candidature McCain dans un rejet global de la présidence Bush. Les arguments contre une
nouvelle présidence Républicaine semblent ainsi tomber un peu plus à plat chaque semaine. Et c'est
même l'inverse qu'on peut constater en matière stratégique :
. désormais, le « surge » en Irak, ardemment soutenu par McCain il y a un an, semble avoir
fait des miracles
. la crise géorgienne et le retour du « Grand Méchant Ours Russe » remet la sécurité au coeur
de la campagne (et l'Iran reste une option de secours si nécessaire) ; un domaine où le
« héros de guerre » John McCain est hors de portée du responsable d'ONG que fut Barak
Obama.
Selon nos chercheurs, l'actuelle administration orchestre donc, avec la complicité des grands médias
US, la construction d'une réalité virtuelle taillée sur mesure pour le ticket McCain/Palin qui de facto
neutralise les principaux arguments de campagne du ticket Obama/Biden.





Le facteur racial joue à plein contre Barak Obama
Les anticipations de LEAP/E2020 n'ont que faire du « politiquement correct », car l'avenir est toujours
très « politiquement incorrect ». Aussi, dans cette course présidentielle américaine, s'il convient de
saluer le fait qu'un citoyen américain noir puisse devenir candidat à la Maison Blanche, il n'en reste
pas moins qu'en termes électoraux c'est un handicap et non pas un avantage, quoiqu'en disent les
Démocrates bien pensants39. La résistance au vote Obama dans les Etats ouvriers lors des primaires
Démocrates a très bien montré le problème. Fondamentalement, les Etats-Unis restent un pays raciste
où les Noirs sont marginalisés politiquement, judiciairement, économiquement, socialement et
culturellement sur la plus grande partie du territoire. Voter pour un candidat noir représente un effort
visiblement difficile pour un grand nombre de militants Démocrates, pourtant censés être moins
racistes que la moyenne de la population US. Nul besoin donc d'être devin pour savoir que cet effort
sera au-dessus des forces d'une partie importante de ceux (les fameux électeurs indépendants) qui ne
sont pas Démocrates mais qui auraient pu voter contre un nouveau président républicain. Et ce
réflexe raciste n'est pas que « blanc » : les Hispaniques comme les Asiatiques feront face au même
réflexe. Or, Barak Obama doit pouvoir compter sur une très forte mobilisation électorale pour espérer
gagner.
Par ailleurs, les électeurs noirs, un électorat qui lui est a priori acquis, font face aux plus grands
obstacles pour pouvoir voter : perte du droit de vote du fait de condamnations pénales (or ce sont en
majorité des Noirs qui composent les millions de prisonniers de droit commun américains), « oublis »
systématiques d'inscriptions dans le Sud du pays, difficultés logistiques pour effectivement voter
(éloignement des bureaux de vote, files d'attente interminables, incompatibles avec des double- ou
triple-journées de travail,...)40.
Pour l'équipe LEAP/E2020, cette tendance lourde, qui a été presque totalement occultée lors des
primaires Démocrates parce qu'elle était « indicible » dans l'environnement intellectuel
« politiquement correct » du parti, constitue un élément à charge contre la direction Démocrate dans
cette élection 2008 : soit ils en avaient conscience et ont fait, sans illusion, le choix d'une candidature
« témoignage » destinée à montrer qu'il est possible pour un citoyen noir américain d'être l'un des
deux finalistes de la présidentielle ; soit ils ont ignoré ces facteurs et, dans ce cas-là, ce sont des
politiciens totalement incapables. Dans les deux cas, l'issue sera identique en Novembre 2008.
Le facteur militaire joue à plein en faveur de John McCain
Outre la nouvelle « réalité virtuelle » de « Guerre Froide réchauffée » que servent actuellement les
dirigeants et médias américains à leurs concitoyens et qui permet à McCain de jouer à plein de son
statut de « guerrier », le sénateur d'Arizona bénéficie du soutien implicite d'un pays militarisé où près
de la moitié des électeurs dépendent directement ou presque du budget militaire. En effet, avec plus
de 23 millions de « vétérans »41 et près de 1,4 millions en service actif42, on arrive aisément au chiffre
de près de 75 millions d'électeurs potentiels étant eux-mêmes directement dépendants du budget
militaire ou via un membre de la famille très proche (femme, mari, fils, fille, père, mère). Sur un total
de 220 millions d'électeurs dont seulement 125 millions ont voté lors de la dernière élection
présidentielle43, il est aisé de constater l'importance de ce vote « militaire et associé », d’autant plus
qu’il s’agit là d’un électorat plus motivé et très largement inscrit sur les listes électorales (à l'inverse
des « réserves » de voix de Barak Obama).









si vous voulez la suite, dites le moi! attendons de voir si ces prévisions sont véritables!

Je veux la suite...

Plus le temps passe et plus je me demande aussi, si cette victoire n'était pas "programmée", je sais pas pourquoi.. en lisant tout cela je me dis qu'on a le droit d'avoir le doute. Même si on pourrait passer des heures à polémiquer sans vraiment savoir la vérité..

J'espère seulement qu'en ce qui concerne notre pays l'Afghanistan.. il va y réfléchir à deux fois avant de commettre une grave erreur, sauf si on pense que sa victoire était "attendue"..